Le Révérend Dr Sul a Nawej a prêché sur la sélection divine : Dieu choisit chacun non seulement pour son propre salut, mais aussi pour le salut de sa famille, de son peuple et du monde (Jean 15:16). Être choisi par Dieu implique une vie distincte, marquée par le renouvellement de l’intelligence et non la conformité au siècle présent, selon l’exhortation de Paul :
« Ne vous conformez pas au siècle présent, mais soyez transformés par le renouvellement de l’intelligence » (Romains 12:2).
Il a rappelé aussi les paroles de Paul à Timothée :
« En gardant la foi et une bonne conscience. Cette conscience, quelques-uns l’ont perdue, et ils ont fait naufrage par rapport à la foi » (1 Timothée 1:19).
« J’exhorte donc, avant toutes choses, à faire des prières, des supplications, des requêtes, des actions de grâces pour tous les hommes, pour les rois et pour tous ceux qui sont élevés en dignité… afin qu’ils parviennent à la connaissance de la vérité » (1 Timothée 2:1-4).
Il a dénoncé les fléaux du tribalisme et de la corruption, rappelant que l’université, lieu de formation de l’élite (médecins, ingénieurs, politiciens), devient dangereuse quand la conscience y est corrompue. Seul Jésus-Christ peut guérir :
« Jésus lui dit : Je suis le chemin, la vérité et la vie » (Jean 14:6).
Le message s’est appuyé sur plusieurs récits bibliques illustrant la puissance de la vérité en Jésus :
La femme adultère (Jean 8:1-11) – condamnée par la loi de Moïse, elle a été pardonnée par Jésus qui révéla que tous étaient pécheurs :
« Que celui de vous qui est sans péché jette le premier la pierre » (Jean 8:7).
Zachée le publicain (Luc 19:1-10) – un riche collecteur d’impôts méprisé, mais que Jésus choisit en déclarant :
« Le salut est entré aujourd’hui dans cette maison, parce que celui-ci est aussi un fils d’Abraham » (Luc 19:9).
La femme samaritaine (Jean 4:1-26) – connue pour sa mauvaise réputation, mais rencontrée par Jésus qui lui dit :
« Si tu connaissais le don de Dieu, et qui est celui qui te dit : Donne-moi à boire ! tu lui aurais toi-même demandé à boire, et il t’aurait donné de l’eau vive » (Jean 4:10).
Le prédicateur a ensuite rappelé l’exemple de Daniel (Daniel 1:8), qui prit la résolution de ne pas se souiller, exhortant les jeunes et intellectuels à devenir une nouvelle génération de Daniel, intègre et ferme dans la foi :
« Daniel prit dans son cœur la résolution de ne pas se souiller par les mets du roi » (Daniel 1:8).
Enfin, il a conclu en affirmant que Jésus ne condamne pas, mais libère : « Il n’y a donc maintenant aucune condamnation pour ceux qui sont en Jésus-Christ » (Romains 8:1). Dieu regarde le cœur plus que les apparences (1 Samuel 16:7). En Jésus-Christ, toutes les condamnations tombent et une nouvelle vie commence.
